La jalousie est une preuve d'amour // Feat. Maxence Nine

- Sauf que c'est toi que j'aime, ma petite princesse.

- Tu es plutôt doué pendant les relations sexuelles....et ...
Je lui jeta un regard malicieux.
- Et tu es celle que mon cœur à choisit. Tu es la mienne.

La première phrase m'a fait rougir. La deuxième encore plus.

Je l'embrassa et lui mordilla la lèvre inférieur.

- Je t'embrasse juste.
Je lui souriais avec malice comme d'habitude.

-Quand tu mords ma lèvre ... Ça... Ça m'excite...
Je rougissais juste à dire ça. Il le savait non ?

- Je t'excite ?
Je souriais encore plus que tout à l'heure. Je lui mordillais encore un peu la lèvre.

-O-Oui... Arrête...
J'avais envie de lâcher un gémissement mais je me retiens. Il fallait qu'il arrête sinon on ne pouvait pas rester à la fête.

Je l'a sentais craquer alors j'arrêta.Je l'a pris dans mes bras et lui fit un câlin tout doux, comme les bisounours.

Heureusement il arrêta. Je sentais quand même les papillons dans mon ventre. Je l'embrassa et posa ma tête sur son torse.

Je lui caressa les cheveux et lui chuchotais des choses à l'oreille.
- la fête dure combien de temps ?

Je regarda l'heure sur ma montre, qui résistait à l'eau bien sur.
-Dans trente minutes. Le temps passe vite...

- Oui le temps passe vite....c'est pourquoi il faut toujours profité des moments présents.

-Oui...
Je remonta de nouveau mon haut. Je commençai à avoir froid. Je m'écartais de Maxence et pris mes habits. Je tremblais un peu.
-On peut rentrer ?

- Euh oui si tu veux.
Je me leva et la suivit.

Je rentra le plus vite possible, en disant au revoir aux personnes, dans "notre" bungalow. Arrivée dedans j'alla rapidement dans la chambre pour prendre mon gilet et le mettre.

- Tu as si froid que ça ?
Je l'a regardait enfiler son gilet.

-Un peu mais ça va passer.
Avoir froid en été... Je suis vraiment la seule, surtout de ce temps là. Je fis un câlin à Maxence pour me réchauffer.

- Tu ne serais pas malade par hasard ?
Je l'enlaça.

-Je suis jamais malade... C'est l'eau et l'air frais c'est tout...
Ok peut-être. Mais je veux pas l'avouer. De plus que ce n'est pas grave du tout.

- J'vais te chercher un médoc.
Je pris les médicaments dont Sara avait besoin. Sans faire exprès je fis tomber les miens.
-Merde.
Tout c'était éparpillés parterre. Je les ramassa aussi vite que je pu. Je ne voulais pas que Sara les voient.

-Ça va ? Tu as fais tombé quoi ?
Je ne bougeais pas pour autant. Comme figée sur place. Pourtant, je crois que ça l'arrangeait.